« La Grosse Pomme » … « La Ville qui ne dort jamais » … Celle qui « se renouvelle sans cesse » … Les superlatifs ne manquent pas pour qualifier la capitale du monde. L’unique, l’emblématique, la charismatique :
NEW YORK !
Bon faut pas décorner : venir à New York, ce n’est pas pour loger au Bronx, le Queens, Brooklyn ou encore Harlem mais pour … Manhattan ! Donc direction croisement 14ieme rue et 8ieme avenue pour un hôtel à la limite entre Chelsea et Greenwich village.
Et c’est parti pour les icones locales !
Le Flatiron Bulding … Riton : « Où Carlos, Demis Roussos et Maïté n’avaient très certainement pas leurs habitudes ». (Sympath pour Maïté …)
« L’Empailleur » State Bulding …
… Riton : « Visiblement trop haut pour Guillaume : l’a eu peur de monter jusqu’en haut, l’garçon J »
Le « Carré du Temps » … qui énerve en se prenant pompeusement pour le « Carrefour du Monde », avec ses presque 40 millions de visiteurs par an
Riton : « Et le feu à Douvaine, alors ?!? Tu ne crois pas que c’est LE carrefour où tout le monde s’énerve ? »
La patinoire du Rockefeller Center …
… où cette fois-ci, Guillaume brave ses peurs => le coucher du soleil s’apprécie aussi ici en altitude
Comme le faisait justement remarquer le cousin, NY n’est pas la ville où il faut « s’amuser à dire des conneries en français dans la rue » : la crise en France ? Certains ne semblent pas connaitre … Déjà que je ne suis pas un grand bavard, de toutes manières il n’y a pas de risque qu’une gaffe glisse entre mes dents, tellement je les sers : rage de dents L !
Downtown - ou Manhattan sud - dévoile ses immeubles historiques …
… dont « Wall Street » …
… et l’ancien bâtiment des douanes commerciales du port
On s’assure que le chantier de la reconstruction des tours du World Trade Center avance bien
Heureusement qu’il y a de temps en temps une église … pour ouvrir un peu le panorama
Nous osons nous aventurer hors de Manhattan … via le pont le Brooklyn
Riton : « Y’a pas a dire : il a bien bossé, Spiderman … »
Central Park est le vrai poumon de cette … petite bourgade
L’ONU ne peut plus se visiter aujourd’hui …
… mais nous avons une belle vue sur « mon préféré » : le Chrysler Building
En ce dimanche, lendemain de mon anniversaire et après un « pique-nique » à Central Park sous un soleil radieux, le musée Guggenheim nous accueille pour son expo du moment
Riton : « Expo Blanc et Noir de Picasso, au musée Guggenheim de New-York, donnant sur Central Park … Si ca fait pas bobo de Manhattan en promenade du dimanche, ca … ». On ne pousse pas la caricature jusqu'à prendre une coupette de champagne, mais on aurait pu J. Riton : « Ouiiiii … Picasso, il ne devait pas tourner qu’au champagne, lui ! »
La « Tour Effel locale » est trop loin pour que mon appareil puisse rendre quelque chose de bien et faire une queue de 2 heures (au moins) pour aller y faire un tour ne nous dit guère. C’est ca la Liberté, un statut qui nous permet de brandir le sceptre de nos envies sur ce qui nous botte.
Riton : « Brandir le sceptre de nos envies sur ce qui nous botte ? Tu parles des ragazza de Little Italy et du Caffe Napoli qui nous accueille en ce dimanche soir ? …… Ba quoi : pourquoi tu me regardes comme ca ? »
Un bus de nuit doit nous ramener vers La Belle Province - départ initialement prévu à 22h30. Même au fin fonds du Laos ou à Sumatra, je n’avais encore jamais « subi » un tel bord*** avec une compagnie de bus ! Retard de près de 2 heures, une trentaine de personnes qui restent sur le carreau car « plus de place, revenez demain matin » (nous sommes les 2 derniers à grimper à bord !), un connard qui ne veut pas laisser sa place alors que nous voyageons à 2 et lui est seul, arrêt d’une ½ heure à 4 heures du matin car « le bus doit faire le plein d’essence => tout le monde descend, SVP » (!)
Mais vinzou : on est à New-York ici, ou quoi ?!?
J’ai beau être naturellement « bonne pate » et prendre tout à la cool depuis 11 mois, je rejoins tout de même pour une fois Guillaume au croisement Rue de l’Enervement et Impasse de l’Impatience … Carrefour légendaire chez les Baud.
Riton : « Monique et Jean-François, si vous nous suivez sur GPS … J »